Thursday, July 13, 2017

Collection de livres La Maîtresse en maillot de bain. Quatre récits d'enfance- Lire le livre




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La Maîtresse en maillot de bain. Quatre récits d'enfance

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Détails sur le produit

  • Rang parmi les ventes : #617806 dans Livres
  • Publié le: 2008-04-10
  • Sorti le: 2008-04-10
  • Langue d'origine:
    Français
  • Nombre d'articles: 1
  • Dimensions: 7.01" h x
    .43" l x
    4.25" L,
    .0 livres
  • Reliure: Poche
  • 192 pages

Description du produit

172pages. poche. Poche.

Commentaires clients

Commentaires clients les plus utiles

1 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile.
3Des souvenirs d’un intérêt très moyen
Par Michelle RIVALLAND
On a l’impression que ces quatre auteurs connus et reconnus, Yasmina KHADRA, Dominique SYLVAIN, Marc VILLARD et Paul FOURNEL, ont été soumis à une interrogation écrite, du genre : « Racontez un souvenir de votre enfance, ou plutôt – en tout cas c’est ce qu’ils ont rédigé ici – de votre adolescence ».Personnellement, je suis très déçue du résultat.« La Rose de Blida » de Yasmina KHADRA est un texte plutôt ennuyeux à mon goût, bien qu’il représente beaucoup sans doute pour les souvenirs de cet auteur, que j’ai par ailleurs énormément apprécié dans ses autres productions.« Brooklyn de quatre sous » de Dominique SYLVAIN est un récit assez loufoque et incongru, où l’histoire des « pisseuses » est un peu trop insistante et déplacée. Ça ne m’amuse pas du tout. L’enquête policière n’est pas très drôle non plus, et plutôt invraisemblable.Marc VILLARD, avec ses « Compagnons de forêt », nous raconte ses premières expériences d’adolescent et en particulier ses premiers émois amoureux, mais c’est plutôt fade dans l’ensemble.Enfin, « À la ville, comme à la campagne » de Paul FOURNEL remporterait davantage mes suffrages. La description de son « bénévolat » dans le salon de coiffure familial est assez pittoresque, de même que la course cycliste qu’il nous narre ensuite, avec beaucoup d’humour.Je pense que ce genre littéraire, le récit de souvenirs, est assez délicat à traiter car les auteurs sont trop impliqués dans l’histoire. La fiction est plus facile à « manipuler ».En outre, les aventures de l’adolescence ne sont pas forcément passionnantes, celles de la petite enfance sont plus goûteuses, mais on s’en rappelle moins, de là la difficulté de les retracer. Ce serait plutôt le travail de l’entourage.

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