Collection de livres -Les Romains : Spartacus, la révolte des esclaves (Littérature Française)- free ebook [PDF]
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Détails sur le produit
- Rang parmi les ventes : #27492 dans eBooks
- Publié le: 2006-01-04
- Sorti le: 2006-01-04
- Format: Ebook Kindle
Commentaires clients
Commentaires clients les plus utiles
4 internautes sur 4 ont trouvé ce commentaire utile.Peut mieux faire !
Par Thierry de Montlu
Ce premier tome de la série sur "Les romains" s'attache à suivre le personnage de Spartacus. Max Gallo tente de faire revivre à travers ce roman les dernières années de la vie de ce révolté et des ses principaux compagnons d'armes. Il faut dire que la lecture est aisée, les chapitres courts sans aucune baisse de rythme et l'on peut dire que l'auteur réussit plutot bien à nous livrer une histoire à la fois conforme aux faits et trés plaisante à parcourir.Seulement j'ai trouvé quelques faiblesses dans le récit,par exemple, le personnage de la compagne de Spartacus semble être hystérique du début à la fin. L'âpreté de cette époque tout comme sexe et violence sont présents dans ce livre mais max gallo n'arrive pas à insuffler l'intensité que l'on peut espérer d'un récit qui pourrait être mené comme un thriller historique au vu des diverses pérégrinations de Spartacus.Ceci dit cela reste un bon roman d'introduction à cette période de l'antquité avec une certaine rigueur historique d'un agrégé d'histoire comme Max Gallo.
23 internautes sur 25 ont trouvé ce commentaire utile.Violent.
Par Victaureau
Comme il fallait bien commencer un jour, c'est le premier roman que je lis de Max GALLO. La lecture est fluide, les pages s'égrènenent rapidement, trop rapidement sans doute, parce que ce livre de 466 pages a été lu en sept heures !! Sur le contenu je reprocherai à l'auteur de s'être trop cantonné à l'histoire qu'il n'a sans doute pas voulu trahir. Un roman historique comporte en effet des écueils et Max GALLO, en grand historien qu'il est de renommée, n'a pas voulu prendre le risque de trop s'en éloigner en relatant la vie d'un personnage qui appartient à l'histoire et donc sa liberté de littérature était fortement encadrée. Il n'empêche que ce roman contient des scènes d'une cruauté inouie, et si l'on sent au début la volonté de Spartacus de sortir de cette violence, on comprend qu'il n'arrivera pas à la juguler, tant est compréhensible le désir de vengeance de ces êtres qui furent opprimés par des êtres qui avaient décidé que les esclaves n'étaient pas autre chose que des bêtes, voir moins que des bêtes. Cette difficulté à organiser parmi les révoltés une armée qui aurait pu faire trembler voir écraser Rome, porte en elle le germe de la défaite à venir, c'est tout le sens de ce livre. Je souhaite que le suivant sur Néron soit un peu plus romanesque.
13 internautes sur 15 ont trouvé ce commentaire utile.Diabolique et apocalyptique.
Par Johan Rivalland
Cinq mois à peine après avoir lu le Néron d'Alain Decaux (voir « La Révolution de la Croix : Néron et les chrétiens »), me voici replongé dans l'infernal parcours de ce tyran incomparablement horrible et machiavélique, cette fois sous forme romancée.Un itinéraire désormais donc familier, mais qui laisse intact le dégoût que l'on peut éprouver à la lecture des « exploits » de ce monstre « sans âme », tour à tour cruel, immoral, incestueux, assassin, violeur, décadent, pédophile, criminel, destructeur, impitoyable, génocidaire, symbole de la déchéance la plus extrême, pitoyable et totalement schizophrène (et j'en oublie sans doute). A se demander s'il n'est pas l'envoyé du diable en personne ou n'a pas signé un pacte avec lui, lui échangeant son âme contre un pouvoir absolu et un accomplissement de tous ses désirs, même les plus pervers.On a du mal à imaginer que l'empire romain ait pu y survivre.Vice, débauche et perversion, dégénérescence, dénonciations et assassinats, destruction à grande échelle s'enchaînent au fil des pages de manière toujours croissante, jusqu'à aboutir à une véritable vision apocalyptique.Une surenchère permanente dans l'horreur, entre lui et sa terrifiante mère Agrippine, couple infernal et rivaux jusque dans la mort. Plus loin encore que les exactions de triste mémoire de Caligula puis Claude, « illustres » prédécesseurs eux aussi amants ou mari d'Agrippine, dont les relations incestueuses étaient à l'image de l'absence de barrières et d'états d'âme qui pouvaient la caractériser.Une montée infernale vers la déchéance la plus extrême, le tout servi par un style sans concession, doublée d'une vision critique intéressante du rôle de certains personnages, à l'image en particulier du célèbre philosophe stoïcien Sénèque, qui occupe une place importante dans ce roman, l'auteur s'interrogeant en tant qu'intellectuel sur la véritable sagesse du philosophe et son comportement souvent critiquable, même si l'on comprend bien que Sénèque était dans une situation plus que délicate face à Néron, dans son rôle très fragile et temporaire de mentor. Une chose est certaine : on ne peut plus lire ses oeuvres de la même manière après avoir eu connaissance de cette Histoire.Une vision effrayante du monde romain, après le révoltant « Spartacus », qui contenait déjà son lot d'abominations douloureuses à lire. Mais une description pleine de maturité, sans faux semblants ou vision édulcorée. Sans surenchère non plus.Un seul regret, qui est de ne pas avoir droit à la fin de règne de Néron, sa fuite et le caractère toujours aussi pitoyable qu'elle représente, si bien décrite dans l'ouvrage d'Alain Decaux. On quitte le tyran au sommet de son délire, sans savoir comment son règne s'achève. Mais peut-être est-ce l'objet du début du tome 3 ?A lire vite, pour s'extraire au plus vite de cette atmosphère pénible et étouffante, que l'on n'envie pour rien au monde. Je prendrai d'ailleurs une pose pour « souffler » et digérer toute cette violence avant de passer à la lecture du tome 3.
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